18 AVENUE DE LA PINEDE 06190 ROQUEBRUNE CAP MARTIN
E.mail : florence.duet@free.fr
Organisme de formation : PROFAC
Je suis diététicienne de formation ; et donc en tant que professionnelle dans le secteur paramédical, j’ai d’abord travaillé en milieu hospitalier, puis rapidement dans le secteur de la restauration collective. Une de mes premières missions a été la mise en place de régimes spécifiques pour les enfants atteints d’allergies alimentaires et /ou de pathologies chroniques. J’ai travaillé dans la même société pendant 15 ans, mes domaines d’activités se sont diversifiés, j’ai évolué au gré des besoins de l’entreprise, ce qui m’a éloigné du soin. Suite à un incident de vie, j’ai vécu une rupture professionnelle qui m’a obligée à faire une pause. J’ai ainsi découvert combien l’art pouvait contribuer à mon « mieux être » dans cette période de fragilité. Puis à force de travail dans le domaine artistique, j’ai découvert la créativité. Picasso disait « qu’est ce que je fais si je n’ai pas d’inspiration ? Je travaille ». Travailler, être curieux, s’ouvrir à ses émotions, ne nécessite pas de don, ni même de talent, ni même d’intelligence, et chacun peut y avoir accès. Donc, quand j’ai repris une activité professionnelle, j’ai choisi de mener en parallèle une activité artistique. Quand s’est posé le problème de ma reconversion professionnelle, j’ai naturellement pensé à l’Art-thérapie.
Au départ, je connaissais peu l’art-thérapie, je pensais l’art comme une thérapie, avec l’apport d’une technicité, encadré par un thérapeute. Ma recherche de formation au métier d’art-thérapeute a été menée via internet en prenant en compte l’obtention d’un diplôme ou certification d’état.
D’une part, la présentation de l’orientation psychanalytique, qui conduit aux productions éphémères m’a questionnée puisque la pratique de mon art consiste à créer des objets durables, que l’on peut conserver et même exposer. Et d’autre part, cette formation avec une orientation psychanalytique, que j’allais découvrir, me convenait car elle me permettrait de m’ouvrir à d’autres connaissances et expériences, et de m’engager dans une traversée inconnue qu’est l’art-thérapie.
E.mail : florence.duet@free.fr
Organisme de formation : PROFAC
Je suis diététicienne de formation ; et donc en tant que professionnelle dans le secteur paramédical, j’ai d’abord travaillé en milieu hospitalier, puis rapidement dans le secteur de la restauration collective. Une de mes premières missions a été la mise en place de régimes spécifiques pour les enfants atteints d’allergies alimentaires et /ou de pathologies chroniques. J’ai travaillé dans la même société pendant 15 ans, mes domaines d’activités se sont diversifiés, j’ai évolué au gré des besoins de l’entreprise, ce qui m’a éloigné du soin. Suite à un incident de vie, j’ai vécu une rupture professionnelle qui m’a obligée à faire une pause. J’ai ainsi découvert combien l’art pouvait contribuer à mon « mieux être » dans cette période de fragilité. Puis à force de travail dans le domaine artistique, j’ai découvert la créativité. Picasso disait « qu’est ce que je fais si je n’ai pas d’inspiration ? Je travaille ». Travailler, être curieux, s’ouvrir à ses émotions, ne nécessite pas de don, ni même de talent, ni même d’intelligence, et chacun peut y avoir accès. Donc, quand j’ai repris une activité professionnelle, j’ai choisi de mener en parallèle une activité artistique. Quand s’est posé le problème de ma reconversion professionnelle, j’ai naturellement pensé à l’Art-thérapie.
Au départ, je connaissais peu l’art-thérapie, je pensais l’art comme une thérapie, avec l’apport d’une technicité, encadré par un thérapeute. Ma recherche de formation au métier d’art-thérapeute a été menée via internet en prenant en compte l’obtention d’un diplôme ou certification d’état.
D’une part, la présentation de l’orientation psychanalytique, qui conduit aux productions éphémères m’a questionnée puisque la pratique de mon art consiste à créer des objets durables, que l’on peut conserver et même exposer. Et d’autre part, cette formation avec une orientation psychanalytique, que j’allais découvrir, me convenait car elle me permettrait de m’ouvrir à d’autres connaissances et expériences, et de m’engager dans une traversée inconnue qu’est l’art-thérapie.